1: Ce phénomène se nomme la diffraction. Ce phénomène est d’autant plus marqué que la largeur de la fente a est petite face à la longueur d’onde λ de la lumière, ainsi l’écart angulaire θ sera plus grand. 1.2:pt) On a un triangle rectangle dont le côté opposé a une longueur égale à L/2 et le coté adjacent a une longueur égale à D. teta= lambda/ a =>> lambda/ a = L/2D => lambda= L*a/2D 1.3: Sur la figure 3, on mesure la largeur L de la tache centrale L = 18,0 – 9,0 = 9,0 mm. lambda= 6,4*10**-7m= 643nm Le fabricant indique lambda = (650 ± 10) nm, ainsi en tenant compte de l’incertitude de 10 nm, on constate que notre mesure est compatible avec celle du fabricant. 2.1: Chaque maille du tamis se comporte comme une source de lumière. Toutes ces sources interfèrent entre elles. Les zones sombres sont dues à des interférences destructives : en ces points de l’écran les ondes parviennent en opposition de phase. Tandis que les zones brillantes correspondent à des interférences constructives où les ondes parviennent en phase. 2.2: 4i = 5,9 cm i = 1,5 cm Lors d’une mesure à la règle, on peut estimer l’incertitude égale à la demi-graduation donc à u(i) = 0,05 cm. 2.4: On veut récupérer les artémies d’une taille supérieure à 150 μm. La largeur du fil plastique constituant le tamis est égale à 230 μm. t largeur du trou, f largeur du fil b = t + f t = b – f t = 3,4×10–4 – 230×10–6 = 3,4×10–4 – 2,30×10–4 = 1,1×10–4 m < 150×10–6 m En considérant la valeur maximale de b : b = (3,4 +0,2)×10–4 = 3,6×10–4 m t = 3,6×10–4 – 230×10–6 = 3,6×10–4 – 2,30×10–4 = 1,3×10–4 m < 150×10–6 m Les artémies sont plus larges que le trou, elles seront donc bien récupérées dans le tamis. On accepte aussi u(i) = 0,1 cm.