Forcage radioactif difference entre lenergie radiative recu et lenergie radiative emise ne watt m -1 La commission ajoute que : « Le forçage radiatif est calculé au sommet de la troposphère et il est exprimé en watts par mètre carré (W/m2) ». « Un forçage radiatif positif contribue à réchauffer la surface de la planète tandis qu'un forçage radiatif négatif contribue à la refroidir » Il y a un forçage radiatif positif à cause de l’augmentation des GES (Gaz à Effet de Serre) issues des activités humaines. En effet, les GES absorbent les rayons infrarouges ce qui les échauffe et provoque l’émission de rayons infrarouges additionnels. La conséquence est que la température globale augmente. Les GES naturels (avant l’ère industrielle) étaient à l’origine d’un effet de serre naturel qui a permis à la température terrestre globale d’augmenter en passant de -18°C à +15°C (doc1). Depuis l’ère industrielle, il y a un surplus de GES provoquant un effet de serre additionnel qui est à l’origine de l’augmentation de la température terrestre globale pouvant atteindre +16,5 à +19,5°C (doc1). Les GES naturels sont : CO2, CH4, N2O, la vapeur d’eau. Ils séjournent peu de temps dans l’atmosphère (entre quelques heures à + de 1 000 ans) et ils ont un faible pouvoir de réchauffement global à 100 ans pour 1kg de gaz par rapport à 1kg de CO2 (de 1 à 265) (doc2). Les GES d’origine industrielle sont principalement des halocarbures (CxHyHalz) où Hal représente les gaz halogènes (fluor, chlore, brome, astate). Ces gaz peuvent séjourner très longtemps dans l’atmosphère (jusqu’à 50 000 ans) et ont un très fort pouvoir de réchauffement global (jusqu’à 23 000) (doc2). Je m’entraîne à : comprendre le lien entre l’évolution de l’activité économique et le réchauffement climatique. Plus l’activité économique augmente (PIB mondial), plus les émissions de GES augmentent (en Gt de CO2 /an) (doc3). Les cépages (vignes) des zones chaudes pourraient s’adapter à des zones plus froides grâce au réchauffement climatique (doc4). Le jour de début des vendanges a lieu en moyenne de plus en plus tôt depuis 50 ans en Champagne à cause d’une augmentation de la température moyenne de 0,3C par décennie (doc4).